Guinée: Jeunesse politique, ce parasite de la vertu avec une vieillesse sûrement pouilleuse.

C’est pourquoi même quand ils grouillent, ils restent inoffensifs.

Ce genre de parasite ressemble à ce personnage à gratter ou encore de la tarte qui mange à tous les râteliers. Du genre « Cube Maggie » à mettre dans toutes les sauces.

Alors ils font de la politique juste pour pouvoir aussi appartenir à ce cercle de charognards dépeceurs de carcasses ou encore pour mener une existence parasitaire à l’image de leurs aînés.

Des aînés serviteurs du pouvoir tyrannique de Sékou Touré, du pouvoir militaire, despotique de Lansana Conté et pourquoi pas maintenant le pouvoir autoritaire d’Alpha Condé.

Car le jeu politique en Guinée est un champ de théâtre où le plus faux acteur a beaucoup plus de chance d’avoir des spectateurs. 

Nous parlons ici des aînés faux opposants déguisés, des vrais dealers politiques qui manipulent une jeunesse en quête de repères dans un État en perdition. 

Partout ils opposent, divisent et instrumentalisent sur fond d’ethnocentrisme politique.

Mais ils restent néanmoins intouchables, puisqu’ils savent compter sur les diaboliques cyberdictateurs,  transformés à l’occasion en de missiles à injures.

Et tel dans un cyberthriller ceux-ci se donnent même le droit d’injurier, de dénigrer des prisonniers politiques tels que Ousmane Gaoual privé de liberté depuis 7 mois.

Or, leur combat ne dépasse jamais le monde virtuel.

À priori qui parmi ces opposants politiques en carton peuvent aujourd’hui prétendre avoir l’audace, le courage des prisonniers politiques tels que Cellou Baldé, Ousmane Gaoual Diallo, Abdoulaye Bah, Foniké Mengé Sylla ? 

Ils auraient pourtant pu aussi être des fugitifs, comme vos poètes transhumants politiques ou être aussi silencieux le lendemain des élections présidentielles du 18 octobre 2020 comme certains de vos dealers politiques, trop bavards depuis la sortie du courrier de Gaoual, Cherif Bah, Cellou Balde. 

Mais rien d’étonnant, du moment où en Guinée, on aime transformer des personnes sorties de nulle part sans carrière professionnelle, des criminels financiers, des bourreaux en des héros…

Et d’ailleurs pourquoi s’indigner du comportement de ses parasites, transhumants politiques sans principes et convictions du moment où en Guinée on remplace le mauvais talent par le travail.

En effet, comme vous ne semblez pas toujours avoir compris que le clanisme, l’ethnicité, la division, les faux opposants aux ordres ne feront jamais sortir la Guinée de cette situation, alors ne vous plaignez pas. 

Et comme on le dit souvent:

« L’élève écoute le maître avec docilité. Il reçoit de lui des leçons et il l’aime. Il fait des progrès. Mais, si un jour il voit que ce maître est Dieu, il le bafoue et ne sait plus rien ». 

Mieux, lorsqu’on veut se donner des airs de maître, il faut commencer par enseigner à ses élèves que faire de la politique c’est avoir des principes et convictions pour lesquels l’on est prêt à couler à pic pour le bien de sa patrie.

C’est juste pour éviter que l’élève ne surpasse le maître en matière de perfidie et d’ immortalité. 

Car en Afrique plus précisément en Guinée, l’enfer est devenu plus gros sur la terre guinéenne, parce que les maîtres font pire que le Satan et L’élève ne copie que ce qui est interdit et mauvais chez son maître. 

Mi Woodi, la Guinée a du pain sur la planche, car le pays est aujourd’hui plein de ces parasites, dangereux, versatiles, des opposants dealers qui ont la vie dure. 

Aissatou Cherif Balde 

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