Je crois à tes écrits, à ton inspiration,, à ton intelligence Thierno Monénembo.
Et je crois qu’ils sont d’origine divine. Ils viennent certainement de Dieu, des anges, d’une muse telle que Djon Kossan .
Oui si l’enfant de Porédaka était un prophète de Dieu je le suivrai aveuglement, pour être sa disciple dévouée et propager le message de Dieu.
S’il était philosophe, j’allais être son étudiante pour faire de sa doctrine, son courant philosophique le fondement de la société guinéenne et africaine.
Mais comme il est écrivain, donc cette sommité, cet grand esprit, cet homme à la plume d’or, tranchante, dont les paroles m’enchantent, résorbent, et dissimulent les associations d’idées, alors Djon Kossan fait de toi Thierno son école, son idole, son modèle de société.
Car Djon Kossan de mangoya sait pertinemment qu’être écrivain, auteur primé n’est pas donné à tout le monde.
Et c’est pourquoi y’en a aujourd’hui des milliers de personnes qui écrivent sans être écrivain. Il y a justement la nature et le talent. Il y a aussi l’absence de l’un tout comme l’autre.
Thierno est tout simplement le jumelage des deux. Il reste pour moi l’un des plus grands écrivains de ce monde.
Étant donc cet écrivain qui dit la vérité, lequel a pour ami la liberté.
Il est impossible qu’il soit compris par ceux qui imposent au pays un apartheid ethnique, territorial et social.
Les concepteurs de la violence d’État, du despotisme, de l’ethnicité en Guinée, les enfants des bourreaux d’hier ont du mal à admettre sa sommité, sa liberté d’esprit, son indépendance.
D’où la nécessité de vouloir l’imposer leur silence, ce silence coupable digne des hypocrites haineux, entrepreneurs politiques, clientélistes, des militants adeptes de la zerocratie.
Or ils oublient que Tierno Monénembo est un écrivain voyant, émerveillé, c’est une manufacture à pensée d’opinion, un esprit libre.
Il n’a point besoin d’appartenir à un clan ethniciste, clientéliste pour défendre la vérité.
Cet homme n’a point besoin de l’ethnisme pour se faire entendre ou pour obtenir un point de chute.
Ne traînant pas des casseroles, n’ayant jamais eu besoin de maîtriser les bas-fonds marécageux du paysage politique guinéen pour être aussi ce politicien vorace, au service d’un système mafieux facilitant le délitement de l’État guinéen.
Alors il ne fera jamais recours à l’ethnicité, pour duper, mentir, manipuler, opposer le peuple.
Ce rôle vous revient !
Vous qui êtes capable de voler, de détourner les deniers publics, de tuer le peuple, de faire de l’alternance démocratique lettre morte, de soutenir l’humiliation des victimes des violences d’état en Guinée, de vouloir faire de Mamady Doumbouya cet autre despote pour des fins politiques.
Bien entendu, vous qui avez atteint le sommet de l’Etat malgré vos déficiences intellectuelles et morales, malgré votre négativité et vacuité de langage.
Accusez le donc !
➖Toi ce borné, taré, ignorant ethniciste adepte de la dictature du sabre en gestation ou du poignard.
➖Thierno reste cet écrivain, auteur, cette sommité qui a quelque chose à dire et parce qu’il est le seul capable de le dire.
➖Puisqu’il est bon comme écrivain, auteur, il aura toujours le dernier mot.
C’est un ingénieur de l’esprit humain et c’est pourquoi ses écrits ne peuvent jamais être compris par ceux dont la pensée et l’esprit sont une moisissure du cerveau.
« Je crois fermement que lorsque quelqu’un est né créatif, son âme est comme un ciel rempli d’étoiles filantes; un globe en constance rotation vers la muse qui capte son imagination»
Thierno Monénembo, je suis ta muse pour que tes écrits restent.
Et tant mieux !
Aïssatou Chérif Baldé.