240 millions d’électeurs américains sont attendus mardi 5 novembre pour élire leur futur chef d’État.
Qui de Kamala Harris ou Donald Trump sera élu à la tête des États-Unis pour devenir ainsi le 47e président des États-Unis ?
Depuis l’arrivée de l’actuel président Joe Biden au pouvoir aux États-Unis, notre monde connaît une instabilité économique et politique et des conflits inhumains sans précédent.
Le président sortant Joe Biden a depuis son arrivée à la tête de l’État américain accompagné et soutenu non seulement la guerre Russo-ukrainienne mais aussi et surtout apporté son soutien indéfectible à la guerre injuste et insupportable que mène Israël depuis un an contre la Palestine.
Dès conflits sources de tensions en Europe, de déshumanisation des peuples palestiniens et de crises économiques dans le monde et en Europe qui favorisent la montée en puissance de l’extrême droite, de la xénophobie, de l’islamophobie et du racisme.
Et le parti des démocrates américains ne semble pas renoncer à ses projets de guerre en Ukraine et en Palestine.
Joe Biden, en visite officielle en Allemagne le mois d’octobre passé, a appelé les alliés occidentaux de l’Ukraine à maintenir leur soutien à Kiev, déclarant qu’il était important de “maintenir notre détermination ».
Or le monde tout comme les électeurs américains sont dans leur grande majorité opposés à ces deux conflits qui ne font que plonger notre planète tout entière dans une spirale de guerre sans aucune place pour la paix.
Nous savons donc que si la candidate des Démocrates Kamala Harris et vice-présidente du gouvernement Biden remporte les élections présidentielles de novembre 2024, ce sera tout simplement un changement dans la continuité.
Quant à l’ancien président Donald Trump et candidat des républicains, il a promis de mettre fin à la guerre en Ukraine.
Il a déclaré lors d’un récent meeting en Géorgie : « j’arrêterai le chaos au Moyen-Orient et la Troisième Guerre mondiale ».
Et le monde a besoin de la paix, de la stabilité et le peuple palestinien a droit à la vie, à la liberté et surtout a droit à son autodétermination.
Car rien ne justifie le massacre des peuples palestiniens par l’État israélien soutenu par les pays occidentaux.